Née en 1978, Marianne Doz grandit à Fontainebleau, en Seine-et-Marne et habite depuis les années 2000 à Paris. Elle est diplômée en économie de la santé et exerce dans un bureau d’études en Ile-de-France.
Elle a développé dès le plus jeune âge une passion pour les voyages et les activités artistiques, notamment le modelage et la photographie.
En octobre 2014, elle découvre ce qu’elle aime appeler « la vraie photo », celle qui lui a été enseignée par des professionnels de l’image lors d’un séjour en Ecosse sur l’île de Skye.

En 2019, Marianne Doz rejoint le Photo-Club de Paris-Val-de-Bievre où elle pratique désormais la photographie tous les jours. Elle y a beaucoup appris lors des séances d’analyse d’images.

A défaut de pouvoir voyager pendant les confinements, elle a alors l’idée de photographier les bâtiments de son quartier, de sa ville. Ce sera une vraie révélation. Marianne Doz se prend au jeu de découvrir des endroits colorés, des formes géométriques, des lieux graphiques, et à chercher de belles lumières. C’est aujourd’hui le style architectural minimaliste qui l’enthousiasme le plus. Elle s’est formée progressivement au post traitement qui est pour elle indispensable, pour « simplifier » ses images et les rendre singulières

En 2023, elle créé et mets en ligne son site internet et vend aujourd’hui ses photos pour aider une association de malades du rein : Renaloo.
Marianne Doz a remporté plusieurs prix dans des salons internationaux et devient Artiste reconnue par la FIAP Fédération Internationale de l’Art Photographique en 2024. Elle a exposé à plusieurs reprises ces deux dernières années : Foire de la Photo à Bièvres, Conservatoire parisien Darius Milhaud, Galerie Daguerre, Kobe au Japon (City Hall), Salon de la Photo à Paris, Rendez-vous de l’Hêtre cet été. Enfin sa série « Abysses Urbaines » a fait l’objet d’une publication spéciale dans le magazine numérique Pixels Latitudes en 2024.

La série « Visages Mirages » s’est construite progressivement sur la période 2021-2024 lors de ses balades photographiques dans plusieurs villes. Elle associe des éléments architecturaux à des formes de visages familiers parfois humoristiques.

Artiste-auteur, elle est exposée pour la première fois à Cholet.